
Une
des plus grosses stars des années 80 dans un film sur les voyages à
l'étranger et les compagnies d'assurance qui assurent le rapatriement en
cas d'accident. Le film a bénéficié de moyens considérables; notre héros
(Coluche) passe de l'Afrique à l'Amérique du Sud ou à l'Asie ou à New York, comme
il respire, et donc il semblerait que le film a été tourné sur tous les continents. Mais cela ne fait pas une histoire ni un film.
Visiblement Valérie Mairesse devait
être une des actrices financièrement attrayantes pour les producteurs.
Elle n'est pas impérissable et nous laisse dubitatifs. Ce dont le spectateur se souvient est sa voix de crécelle.
Le
film est très typé années 80. Et dispense une certaine misogynie et un
certain racisme, qu'il serait impossible à filmer de nos jours. À ce titre il est une curiosité. Tout en étant exempt de subtilité et d'élégance, ce film serait plutôt un bréviaire sur la vulgarité.
Pour la postérité, le film contient une énormité très Z: un Boeing 747 qui fait une rotation de 360° et atterrit sur un porte-avion... Ce qui achève le film dans un n'importe quoi étonnant.
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