
Ce quatrième de franchise permet de retrouver le buddy movie des années 80, relooké à la technologie des années 2000 (internet, ordiphone et tous leurs bibelots) avec le système de la franchise Die Hard où John McClane participant à un gigantesque escape game doit affronter un certain nombre d'épreuves: dans un gratte-ciel (Piège de Crystal, 1988), dans un aéroport (58 Minutes Pour Vivre, 1990), dans une ville (Une Journée En Enfer, 1995), et ici dans le pays (les USA of America) tout entier ou presque.
Le buddy movie est très réussi: très bien écrit et interprété. Les alternances régulières de scènes dialoguées avec les séquences d'action sont bien distillées. Justin Long fournit un contrepoint bienvenu à Bruce Willis. Le méchant est très réussi aussi (Timothy Olyphant est parfait).
Le film contient des séquences de tôles froissées très spectaculaires et pour trois d'entre elles, d'anthologie: l'hélicoptère descendu par une voiture, la voiture dans l'ascenseur et l'avion avec lequel John McClane fait mumuse, toutes dans un esprit de dessins animés exagéré de bon aloi en mélangeant énormité et violence.
L'histoire intègre habilement la fille de John McLane dans l'histoire: Mary Elizabeth Winstead apparait peu, mais est suffisamment marquante.
Le film contient des séquences de tôles froissées très spectaculaires et pour trois d'entre elles, d'anthologie: l'hélicoptère descendu par une voiture, la voiture dans l'ascenseur et l'avion avec lequel John McClane fait mumuse, toutes dans un esprit de dessins animés exagéré de bon aloi en mélangeant énormité et violence.
L'histoire intègre habilement la fille de John McLane dans l'histoire: Mary Elizabeth Winstead apparait peu, mais est suffisamment marquante.
Au total, une réussite qui honore cette franchise et qui place cette variante de la franchise au même niveau que les McTiernan.
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