Encore un film qui réutilise l'esthétique établie par Bladerunner (cosmopolitisme, gigantisme, pluie et humidité, crasse, les voitures de police sans roues, etc.). Bien que pas originaux, les décors son superbes et gigantesques.
L'histoire est un canevas simple: un dictateur (qui domine un état recoupant l'Europe de l'ouest) veut envahir l'Australie qui s'appelle la Colonie. On ne comprend pas bien pourquoi mais ce pauvre Colin Farrell est la clé pour notre dictateur pour infiltrer la résistance. Globalement on se moque des enjeux dramatiques et on suit l'histoire comme le personnage qui passe son temps à découvrir des choses sur son passé, l'air un peu ahuri.
Mais les séquences d'action régulières empêchent de décrocher complètement et remettent de la curiosité.
Le casting est superbe: Colin Farell est vraiment très bien et arrive à donner de l'épaisseur à son personnage. Les deux love interest (Beckinsale et Biel) sont plutôt bien intégrées à l'histoire. Biel s'en sort mieux. Beckinsale est assez monolitique et est exploitée pour son physique (baston et gunfights, héritages de Underwold on imagine).
Au total il manque quelque chose pour faire passer le film de bon travail technique plutôt impersonnel à quelque chose de mémorable et de passionnant, ce qu'il n'est pas.
L'histoire est un canevas simple: un dictateur (qui domine un état recoupant l'Europe de l'ouest) veut envahir l'Australie qui s'appelle la Colonie. On ne comprend pas bien pourquoi mais ce pauvre Colin Farrell est la clé pour notre dictateur pour infiltrer la résistance. Globalement on se moque des enjeux dramatiques et on suit l'histoire comme le personnage qui passe son temps à découvrir des choses sur son passé, l'air un peu ahuri.
Mais les séquences d'action régulières empêchent de décrocher complètement et remettent de la curiosité.
Le casting est superbe: Colin Farell est vraiment très bien et arrive à donner de l'épaisseur à son personnage. Les deux love interest (Beckinsale et Biel) sont plutôt bien intégrées à l'histoire. Biel s'en sort mieux. Beckinsale est assez monolitique et est exploitée pour son physique (baston et gunfights, héritages de Underwold on imagine).
Au total il manque quelque chose pour faire passer le film de bon travail technique plutôt impersonnel à quelque chose de mémorable et de passionnant, ce qu'il n'est pas.

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