Le chef d’œuvre des chefs d’œuvre. La paranoïa. Le froid. La musique d'Ennio
Morricone - qui ressemble à du John Carpenter pur jus -. La bête et les
sculptures de Rob Bottin. La dramaturgie de série B voire série Z. Le beau
travail de montage notamment sur les ellipses. Un film noir sur fond de neige.
Le scénario ajusté et équilibré de Bill Lancaster (John Carpenter revient
systématiquement sur la qualité du scénario de Bill Lancaster lors de ses
interviews sur The Thing).
La force du film est son climat, l'atmosphère qu'il dégage. Revoir The Thing est un antidote à la diarrhée d'images de beaucoup de productions d'horreur (les found footages par exemple - évoqués ici à travers les images filmées par les Suédois... non, les Norvégiens -), ou de productions horribles (les films Marvel avec leur pornographie - on y montre tout, y compris tout ce qu'on peut montrer maintenant avec les images générées par ordinateur -).
La force du film est son climat, l'atmosphère qu'il dégage. Revoir The Thing est un antidote à la diarrhée d'images de beaucoup de productions d'horreur (les found footages par exemple - évoqués ici à travers les images filmées par les Suédois... non, les Norvégiens -), ou de productions horribles (les films Marvel avec leur pornographie - on y montre tout, y compris tout ce qu'on peut montrer maintenant avec les images générées par ordinateur -).
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