Le chef d'oeuvre de James Cameron?
Bien sûr le mélange du film de commando, du film d'action et du film d'horreur dans un cadre à fort suspense fonctionne bien. Avec les décors impressionnants qui donnent son climat au film: reprise de la direction artistique du premier de franchise (Alien, 1978) et travaux préparatoires pour le futur Abyss (1989) avec la station, les coursives, les tunnels et l'ensemble de l'arsenal technologique.
Mais le film est surtout réussi dans ses moments calmes, lorsque la caméra panoramique, se faufile ou nous montre les décors, les temps calmes de l'hyper sommeil, le bruit du matériel ou des chaînes de grues. Avec le bruitage adéquat et la bonne musique de James Horner, subtile (ce qui est rarement son fort).
Cette version longue est plus cohérente et permet de fouiller plus les personnages.
Autre qualité de ce film, et de la franchise, et de ne pas montrer les monstres de manière ostensible et permanente. On ne les voit finalement pas souvent et leur présence est évoquée à travers les décors puissants de Giger ou par des inserts furtifs, ou alors par des écrans interposés (détecteurs de mouvements, caméras).
À quand un reboot de cette franchise (qui peut très bien exister en même temps que le spinoff Prometheus). Mais attention aux images générées par ordinateur qui vont permettre de démultiplier les vilaines bêtes à l'infini à l'écran: à utiliser avec parcimonie.
Bien sûr le mélange du film de commando, du film d'action et du film d'horreur dans un cadre à fort suspense fonctionne bien. Avec les décors impressionnants qui donnent son climat au film: reprise de la direction artistique du premier de franchise (Alien, 1978) et travaux préparatoires pour le futur Abyss (1989) avec la station, les coursives, les tunnels et l'ensemble de l'arsenal technologique.
Mais le film est surtout réussi dans ses moments calmes, lorsque la caméra panoramique, se faufile ou nous montre les décors, les temps calmes de l'hyper sommeil, le bruit du matériel ou des chaînes de grues. Avec le bruitage adéquat et la bonne musique de James Horner, subtile (ce qui est rarement son fort).
Cette version longue est plus cohérente et permet de fouiller plus les personnages.
Autre qualité de ce film, et de la franchise, et de ne pas montrer les monstres de manière ostensible et permanente. On ne les voit finalement pas souvent et leur présence est évoquée à travers les décors puissants de Giger ou par des inserts furtifs, ou alors par des écrans interposés (détecteurs de mouvements, caméras).
À quand un reboot de cette franchise (qui peut très bien exister en même temps que le spinoff Prometheus). Mais attention aux images générées par ordinateur qui vont permettre de démultiplier les vilaines bêtes à l'infini à l'écran: à utiliser avec parcimonie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire