Avec Manuela Velasco, Paco Manzanedo, Héctor Colomé, Ismael Fritschi, Crispulo Cabezas, Mariano Venancio, María Alfonsa Rosso, Carlos Zabala.
Avec ce quatrième de série, la franchise [Rec] revient à des fondamentaux, mais ne retrouve pas le brio du premier de série. Un espace confiné d'où personne ne peut s'en tirer. Ici il s'agit d'un bateau affrété pour étudier le virus origine du mal en laboratoire. Puis évidemment, le virus fini par s'échapper et contaminer progressivement tout le monde à bord. Puis c'est une course poursuite pour échapper au virus, aux gens infectés qui se comportent comme de vilains morts-vivants sous amphétamines. Et aussi des militaires et des scientifiques qui sont prêts à sacrifier tout le monde.

Les coursives, la pénombre ou le manque de lumière, les recoins d'où l'on ne sait pas ce qui va sortir font que le film est un film de terreur nominal. Et heureusement le film ne passe pas son temps à expliquer d'où vient la vilaine bébête même si les religieux sont évoqués un moment, et donc ne sombre pas dans ridicule comme [Rec] 2. Il s'agit d'un bon film de terreur bien fait avec des maquillages et des effets spéciaux sanguinolents à profusion.
Son principal défaut est une direction d'acteur schématique dénuée de subtilité.
La progression dramatique ne permet pas de savoir comment cela va se terminer. Et fait évoluer les personnages principaux: ceux de la deuxième moitié du film ne sont pas ceux de la première moitié.
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