Un film en Mexiscope et en 2D précise le vidéogramme français.
Will Ferrell confirme son génie avec
ici un mécanisme d’exagération permanent, appliqué par tous les
personnages.
Et comme tout Will Ferrell, car il faut
bien dire que même s’il y a un metteur en scène de crédité (qui
vient du Saturday Night Live), ce film rassemble tous les éléments
et correspond au même patron que beaucoup des films avec Will
Ferrell.
D’ailleurs, il est intéressant de
comparer le mécanisme d’approche et de résultat de ce film avec
ce qu’a fait Quentin Tarentino avec Boulevard de La Mort ou celui
de Robert Rodriguez (Planète Terreur) : leur film reste dans le
pastiche, ils sont oubliés, tandis que là, les personnages
existent. Le film fonctionne avec ses exagérations. Étonnant.
Cela reste néanmoins un film pour
gourmet « ferrellophile ».
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