Avec Victor Mature, Richard Egan, Stephen McNally, Virginia Leith, Tommy Noonan, Lee Marvin, Brad Dexter, J. Carrol Naish, Ernest Borgnine, Sylvia Sidney, Billy Chapin.
Le premier élément surprenant ce sont les pelles mécaniques que l'on voit au début du film et qui rappelle, le Soleil Vert (1972) du même Richard Fleischer.

Ensuite c'est une direction d'acteur qui permet de mettre en évidence toute la population de cette ville et tous les personnages que nous suivons de près. Ces personnages vont se rejoindre à un moment donné dans le film, mais nous ne le savons pas pendant un certain temps. Il y a un ingénieur des mines, il y a le directeur de la banque, il y a le patron de la mine, il y a sa femme, il y a les inconnus dans la ville (ceux du titre), qui, l'on comprend petit à petit, sont en train de préparer l'attaque de la banque. Il y a aussi une infirmière, et une bibliothécaire, qui contribuent aux éléments dramatiques.
La mise en scène utilise beaucoup la largeur du Cinémascope. Il y a beaucoup de plans d'ensemble, de plans américains et au fur à mesure que l'intensité entre les personnes il cadre de plus en plus près jusqu'à quelques plans rapprochés; mais le film ne contient aucun gros plan. Le Cinémascope est utilisé aussi pour mettre en évidence les décors et pour avoir en permanence dans le champ visuel une ligne, un cadre, quelque chose qui tire un trait et qui attire l'oeil: une fenêtre, un escalier.
Nous sommes aussi étonnées de cette scène d'intimité en pyjama où Lee Marvin qui n'arrive pas à dormir viens voir le patron de la bande, le réveille, pour parler de son ex-femme; scène étonnante où l'on a l'impression que deux vieux copains qui parlent, ou en fait surtout un seul, Lee Marvin, avec l'autre qui écoute et qui se dit qu'il doit en passer par là (il est visiblement habitué).
La mise en scène utilise beaucoup la largeur du Cinémascope. Il y a beaucoup de plans d'ensemble, de plans américains et au fur à mesure que l'intensité entre les personnes il cadre de plus en plus près jusqu'à quelques plans rapprochés; mais le film ne contient aucun gros plan. Le Cinémascope est utilisé aussi pour mettre en évidence les décors et pour avoir en permanence dans le champ visuel une ligne, un cadre, quelque chose qui tire un trait et qui attire l'oeil: une fenêtre, un escalier.
Nous sommes aussi étonnées de cette scène d'intimité en pyjama où Lee Marvin qui n'arrive pas à dormir viens voir le patron de la bande, le réveille, pour parler de son ex-femme; scène étonnante où l'on a l'impression que deux vieux copains qui parlent, ou en fait surtout un seul, Lee Marvin, avec l'autre qui écoute et qui se dit qu'il doit en passer par là (il est visiblement habitué).
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