Avec Liam Neeson, Bradley Cooper, Jessica Biel, Quinton Rampage Jackson, Sharlto Copley, Patrick Wilson, Gerald McRaney, Henry Czerny, Brian Bloom, Maury Sterling, Terry Chen, Omari Hardwick, David Hugghins, Jacob Blair, Rad Daly.

Histoire où des points d'humour, bien venus et légèrement iconoclastes, sont présents à intervalles réguliers, grâce principalement à Sharlto Copley, qui fait le dingue, avec beaucoup de réussites.
Une des grandes qualités aussi est sa distribution. Avec un Liam Neeson en mode mâchoire serré qui pousse dans la caricature son personnage de héros de film d'action. Sharlto Copley est lui parfait dans le rôle du fou qui est source d'une bonne partie des délires. Même dans le traitement du personnage féminin de Jessica Biel, qui fait
l'amante de Bradley Cooper, les personnages sont bien écrits. Patrick Wilson en méchants de la CIA est aussi une réussite: son personnage recèle toutes les caractéristiques d'un bon méchant (humour, ironie, avidité, subtilité).
Probablement la raison qui explique l'échec commercial du film: le fait que les méchants sont à l'intérieur, l'armée et la CIA, qui trahissent pour de l'argent. Le film est très noir sur les organismes gouvernementaux des USA of America.
La version longue (14 minutes de plus) en vidéogramme rallonge le film a de multiples endroits pour donner plus de liants et d'explications sur les motivations des personnages. La version salle est réduite et au cordeau, va très vite, et ne laisse pas le spectateur souffler: elle est plus "énorme" comme peut l'être un dessin animé.
La version longue (14 minutes de plus) en vidéogramme rallonge le film a de multiples endroits pour donner plus de liants et d'explications sur les motivations des personnages. La version salle est réduite et au cordeau, va très vite, et ne laisse pas le spectateur souffler: elle est plus "énorme" comme peut l'être un dessin animé.
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