
Le film se permet des séquences sur les toits parisiens, ce qui est toujours cinégénique, et dans les rues (poursuites légères en voiture ou à pied).
La performance technique du film est nominale. Nous retiendrons le personnage de Swann Arlaud, très bien écrit, à multifacettes, qui reste toujours mystérieux. Charles Berling composant un retraité cool (gros travail du costumier sur un ensemble de chemises à fleurs toutes plus laides les unes que les autres). Et une histoire, des vols de tableaux, qui ne sombre pas dans le high-tech et le numérique (défaut immédiat qu'aurait une production étatsunienne sur le sujet) ou dans l'ultra-chic besogneux (défaut que des anglo-saxons imposeraient; ici les collectionneurs ne sont que sur des tableaux de prix moyens).
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