Avec Daniel Giménez Cacho, Griselda Siciliani, Ximena Lamadrid, Íker f. Sanders, Francisco Rubio.
Nous reconnaissons le travail de mise en scène phénoménal, incorporant un travail sur l'aspect visuel et l'originalité de ce qui est mis devant la caméra (que ce soit devant la caméra ou ajouté numériquement) : chaque séquence contient son lot d'éléments visuels excessifs, insensés, ou abolissant la réalité. Chaque séquence est construit sur un partie prix visuel original et qui imprime bien l’œil, mais assez peu la mémoire. Tout cela est très beau. Tout est parfait sur le plan technique : décors, costumes, photographie, distribution et interprétation.
Mais nous restons tout le temps hermétique au schéma dramatique et au enjeux, que nous imaginons personnels pour le réalisation. Cela parle de la famille, du Mexique, de l'Histoire, de la relation du Mexique avec les USA, et bien sûr des USA. Il faut reconnaître que, au delà de la beauté plastique du film et de son originalité sur le plan visuel, nous restons froid devant les éléments dramatique, et que sur la durée cela devient un problème, même si l'originalité visuelle, plastique, est souvent au rendez vous.
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