Avec Arnold Schwarzenegger, Jason Clarke, Emilia Clarke, Jai Courtney, Byung-Hun Lee, Matt Smith, J.K. Simmons, Dayo Okeniyi.
Ce Terminator est un peu poussif à se mettre en place. D'autant plus que ce film se considère comme une suite de Terminator (le premier film, du papa James Cameron) et Terminator 2 (le deuxième film, du papa James Cameron), faisant fi du 3 (magnifique réinterprétation de Jonathan Mostow) et du 4 (beaucoup de bonnes idées, mais un final ridicule), pourtant tout deux de très bonne tenue, technique et artistique. C'est un choix, peut-être regrettable, mais comme les voyages dans le temps peuvent conduire à de multiples possibilités, nous ne sommes pas au bout de la franchise et la suite nous réservera sûrement de bonnes surprises.
Le film est intéressant dans sa manière de faire le lien avec 2015. Le soulèvement des machines arrive par la démultiplication des objets connectés, l'internet of things, ou alors en français, l'internet des objets. Connectés entre eux, des ordinateurs que tout un chacun possède et qui vont nous réduire en esclavage (ce n'est peut-être pas encore le cas? Et notre ordiphone alors?).
La distribution de Jason Clarke est une mauvaise idée: le typecasting l'associant toujours à des personnages ambigus, de méchants, nous neutralise l'effet dès le début sur le fait qu'il va y avoir un retournement. Mauvaise pioche. Retournement intéressant d'ailleurs et qui relance le film, un peu plan-plan (encore!) et mou jusque là.
La bonne idée du film, c'est Arnold Schwarzenegger, version 1984 et version 2015, avec les cheveux blancs. Emilia Clarke et Jai Courtney s'en sortent finalement bien et incarnent le film et la franchise sans problème. Le film est habile à mélanger les éléments du premier et deuxième de franchise, en particulier avec les personnages de
Au total le film est un peu en demi-teinte et ne marque pas l'esprit à la première vision. Mais il prend de l'intérêt à la re-vision.
Le film est intéressant dans sa manière de faire le lien avec 2015. Le soulèvement des machines arrive par la démultiplication des objets connectés, l'internet of things, ou alors en français, l'internet des objets. Connectés entre eux, des ordinateurs que tout un chacun possède et qui vont nous réduire en esclavage (ce n'est peut-être pas encore le cas? Et notre ordiphone alors?).
La distribution de Jason Clarke est une mauvaise idée: le typecasting l'associant toujours à des personnages ambigus, de méchants, nous neutralise l'effet dès le début sur le fait qu'il va y avoir un retournement. Mauvaise pioche. Retournement intéressant d'ailleurs et qui relance le film, un peu plan-plan (encore!) et mou jusque là.
La bonne idée du film, c'est Arnold Schwarzenegger, version 1984 et version 2015, avec les cheveux blancs. Emilia Clarke et Jai Courtney s'en sortent finalement bien et incarnent le film et la franchise sans problème. Le film est habile à mélanger les éléments du premier et deuxième de franchise, en particulier avec les personnages de
Au total le film est un peu en demi-teinte et ne marque pas l'esprit à la première vision. Mais il prend de l'intérêt à la re-vision.
C'est n'est finalement pas la superproduction dévastatrice, mais un bel hommage à la franchise.
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