Avec Russell Crowe, Joaquin Phoenix, Connie Nielsen, Oliver Reed, Richard Harris, Derek Jacobi, Djimon Hounsou, David Schofield, John Shrapnel, Tomas Arana, Ralf Moeller, Spencer Treat Clark, David Hemmings, Tommy Flanagan, Sven-Ole Thorsen, Omid Djalili.
Le film qui a
relancé les films en costumes voire les péplums après leur désuétude des années
1990. Avec Russel Crowe, lorsqu'il était mince. Que retenons-nous du film? Une
violence plutôt sympathique, mais moins brutale que chez Mel Gibson. Une
histoire prévisible, sans savoir si cela correspond à une réalité historique,
dont l'ingrédient le plus intéressant est le personnage de Joachim Phoenix, qui
interprète un Commode qui tue son père et qui possède un amour immodéré pour sa
soeur. Nous comprenons qu'il manque de beaucoup d'amour. Ce qui en fait un
méchant assez trouble, pathétique et psychotique, ce qui en fait un personnage
parfait pour la narration.
L'ensemble est bien conduit. Les productions values sont au top, mais c'est une tautologie pour un film de Ridley Scott. La narration est simple et tout ce que nous imaginons arrive. Curieusement, le film arrive à produire de l'émotion lorsque l'on considère le personnage de Russell Crowe avec sa femme et son enfant et sa terre. Curieusement, car le reste du film est surtout dans la brutalité et la balourdise.
Le principal
intérêt du film est le personnage d'Olivier Reed, halluciné et possédé, que nous
ne voyons que trop peu. Et la plastique de Connie Nielsen, trop rare, qui interprète habilement celle qui doit naviguer entre tous (son frère, Gladiator, les sénateurs).
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