Avec Sacha Baron Cohen, Maria Bakalova, Dani Popescu, Manuel Vieru, Miroslav Tolj, Alin Popa.
Borat Sagdiyev retourne aux USA of America pour offrir sa fille de 14 ans (la
célibataire la plus âgée du Kazakstan) au vice-président de Donald
Trump.
Ce Borat-là est plus écrit et fluide que le premier. Et plus cohérent. Pour pourfendre l’Amérique trumpiste, complotiste, xénophobe, proarmes. Mais le film n'est pas que sur des personnages négatifs. Il y a des personnages positifs, comme la baby-sitter qui explique à la fille de Borat qu'elle ne doit pas écouter son père, ou la survivante de l'holocauste dans la synagogue.
Ce qui permet au film de montrer des choses naturelles, mais qui ne sont
jamais montrées dans un film: les poils sous les bras, le pubis très poilu, ou
le sang menstruel d'une fille. Qui sont considérés comme dégoutants par les
puritains. Très symptomatique.
La révélation du film est Maria Bakalova qui joue la fille de Borat. Que nous
allons assurément revoir très bientôt dans beaucoup de films
Le meilleur du film reste son affiche, bien vue en cette période de pandémie.
Vivement la suite de Brüno (2009), l'autre chef d'oeuvre de Sacha Baron Cohen.
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