Avec Soheila Golestani, Missagh Zareh, Setareh Maleki, Mahsa Rostami, Niousha Akhshi, Reza Akhlaghirad.
Ces graines du figuier sauvage tiennent le spectateur en haleine, et ceci sur toute la durée. Le film est constitué de plusieurs chapitres. Le premier expose une famille iranienne dans le père est procureur à la solde de l'état iranien, avec sa femme qui gère la maison et ses deux filles sont étudiantes. Arrivent ensuite les événements de la femme assassinée parce qu'elle n'avait pas son voile. Évidemment cela crée des tensions pour la famille avec le père procureur qui condamne en série sur ordre de l'État. Le film bascule lorsque l'arme de service du père disparaît. Là le film bascule dans un huis clos ou le père interroge voire torture sa femme et ses filles pour savoir laquelle d'elle a volé l'arme, car si elle n'est pas retrouvée il va se retrouver lui-même en prison et sa crédibilité sera réduite à néant dans le système étatique iranien. Et puis c'est la dernière partie où il y a un jeu entre le procureur et sa femme et ses filles pour arriver à les faire parler et là le film bascule dans un non-retour qui va jusqu'à sa conclusion.
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