Avec Mel Gibson, Joanne Samuel, Hugh Keays-Byrne, Steve Bisley, Tim Burns, Roger Ward, Lisa Aldenhoven, David Bracks, Bertrand Cadart, David Cameron.
Le film iconique des dystopies où la violence règne. Iconique aussi avec ses séquences d'anthologie, avec par exemple la séquence introduction à l'univers où un taré sous emprise chimique roule à toute vitesse et se fait appeler le Cavalier de la Nuit : longue poursuite introductive qui installe l'univers, les seconds rôles et le rôle principal, celui de Mel Gibson, qui apparaît petit à petit au volant de sa voiture, pour stopper cette voiture qui fonce, avec la sienne. D'ailleurs la conclusion de cette séquence est amusante et réaliste, le taré se met à pleurer.
Autres éléments iconiques : le bébé sur la route, pendant cette séquence introductive, les véhicules percutés ou la caravane transpercée, et que nous retrouverons ensuite lorsque ce sera la femme de Mel Gibson qui court au milieu de la route avec son bébé dans ses mains. Qui sera la séquence de bascule du personnage vers un ailleurs, qu'il part retrouver à la fin en roulant vers le futur.
Là où le film garde son impact est dans le mélange de ces décors vides, la campagne, des petites routes à perte de vue, avec cet univers dystopique où la violence et la délinquance est permanente.
Eh oui, le personnage de Mel Gibson, Max, n'est pas sympathique et ne suscite par beaucoup d'empathie par son égoïsme et sa bêtise (voir ce qui arrive à sa femme). Ce sera une constante de la franchise. Mais le film capture l'attention du spectateur par son ambiance particulière.
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