Avec Mary Elizabeth Winstead, Joel Edgerton, Adewale Akinnuoye-Agbaje, Ulrich Thomsen, Eric Christian Olsen, Trond Espen Seim, Kristofer Hivju, Paul Braunstein, Kim Bubbs, Jo Adrian Haavind, Carsten Bjornlund, Jorgen Langhelle.

La qualité du film est de construire et d'alimenter tout ce que l'on trouve dans le film de John Carpenter (The Thing, 1982). C'est-à-dire que le film prépare tout ce qu'il faut et explique comment on est arrivé à l'état de la station norvégienne quand les Américains vont la visiter dans le film de John Carpenter.
Ainsi il explique bien toutes les choses qu'il y a en entrée du fil de Carpenter. Par contre, ce film est beaucoup plus explicite sur la représentation du monstre et ceci probablement grâce à l'utilisation des effets numériques qui permettent de le décrire plus facilement. C'est d'ailleurs intéressant decomparer cette créature numérique, quelque part beaucoup moins impressionnante que les créatures et les effets de Rob Bottin dans le film de John Carpenter qui étaient faits devant la caméra.
Le film n'est par contre pas du tout intéressant sur sa distribution qui est archétypique: le casting type marche à fond et nous savons dès leur première apparition tous les personnages qui vont disparaître.
Le film n'est pas réussi non plus avec son utilisation de personnages américains, au nombre de trois, personnages inexistants dans le film de 1982. Quant à Mary Elizabeth Winstead, elle à l'air d'y croire.
Au total, le film ne brille pas par sa mise en scène, mais survit grâce à sa filiation avec le film de 1982.
Ainsi il explique bien toutes les choses qu'il y a en entrée du fil de Carpenter. Par contre, ce film est beaucoup plus explicite sur la représentation du monstre et ceci probablement grâce à l'utilisation des effets numériques qui permettent de le décrire plus facilement. C'est d'ailleurs intéressant decomparer cette créature numérique, quelque part beaucoup moins impressionnante que les créatures et les effets de Rob Bottin dans le film de John Carpenter qui étaient faits devant la caméra.
Le film n'est par contre pas du tout intéressant sur sa distribution qui est archétypique: le casting type marche à fond et nous savons dès leur première apparition tous les personnages qui vont disparaître.
Le film n'est pas réussi non plus avec son utilisation de personnages américains, au nombre de trois, personnages inexistants dans le film de 1982. Quant à Mary Elizabeth Winstead, elle à l'air d'y croire.
Au total, le film ne brille pas par sa mise en scène, mais survit grâce à sa filiation avec le film de 1982.