
Nous y retrouvons les qualités de ces deux autres films, c'est-à-dire les personnages très travaillés qui possèdes une vraie consistance qui ont des problèmes d'argent et de famille qui sont des Américains plutôt moyen qui vivent dans des endroits affreux qu'on ne voit pas dans les grosses productions hollywoodiennes, et qui se retrouvent dans une descente aux enfers pour arriver à survivre où vivre ou trouver de l'argent. C'est Vince Vaughn et Jennifer Carpenter.
Parmi les qualités il y a encore ce sens incroyable des décors, ce sens de la composition des plans avec une utilisation de la profondeur de champ, et l'absence de mouvements de caméra, avec une bande-son très fouillée et assez peu de musique (elle est quand même présente par moment).
Autre qualité que l'on retrouve ici est le sens de la distribution pour chacun des personnages. Vince Vaughn, Jennifer Carpenter, Don Johnson, Udo Kier, etc. Il y a toujours un magnifique bestiaire d'acteurs chez S. Craig Zahler.
Dans sa dernière partie se déroulant dans la partie noire de la prison de haute sécurité, nous nous retrouvons dans des décors presque moyenâgeux, pas du tout réalistes, qui changent des parties précédentes qui avaient une dimension de documentaire, de réalité, que ce soit en dehors ou dans la prison. Ce passage dans une partie irréelle, inventée, est peut-être la seule faiblesse du film, qui passe dans une qualité plutôt liée à ses qualités de film gore.
Dans sa dernière partie se déroulant dans la partie noire de la prison de haute sécurité, nous nous retrouvons dans des décors presque moyenâgeux, pas du tout réalistes, qui changent des parties précédentes qui avaient une dimension de documentaire, de réalité, que ce soit en dehors ou dans la prison. Ce passage dans une partie irréelle, inventée, est peut-être la seule faiblesse du film, qui passe dans une qualité plutôt liée à ses qualités de film gore.
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