
Le film dispose d'une énergie phénoménale incarnée à la fois par le
personnage principal interprété par Adam Sandler (à des années-lumière de ses
interprétations dans ses comédies où il interprète en générale un personnage
mou) et une caméra en suivi de tout ce qui arrive au personnage d'Adam Sandler.
Son personnage, un bijoutier accro aux jeux, dont la vie est une hystérie
permanente entre son travail, sa femme et sa fille, sa maîtresse, ses employés,
sa famille et ses clients.
Le film est phénoménal dans sa manière de gérer les différents personnages et
leurs interactions avec Adam Sandler. Nous nous demandons régulièrement comment
il va faire part se sortir d'une situation et enchaîne les bêtises de manière
permanente, par des choix les options malheureuses. Ceci sans oublier son
addiction au jeu et au pari.
Les réalisateurs aiment ce personnage entièrement responsable de ce qui lui
arrive.
Le film est comme une tornade dont le centre est ce petit bijoutier. La forme est une caméra à l'épaule immergée au sein de chaque scène. Le film contient le côté électrique et survolté de New York - nous pouvons nous demander si c'est toujours l'urgence typiquement new-yorkaise qui est le moteur du film. Un film sur l'urgence donc. Sur l'urgence auto générée.
Le film est comme une tornade dont le centre est ce petit bijoutier. La forme est une caméra à l'épaule immergée au sein de chaque scène. Le film contient le côté électrique et survolté de New York - nous pouvons nous demander si c'est toujours l'urgence typiquement new-yorkaise qui est le moteur du film. Un film sur l'urgence donc. Sur l'urgence auto générée.
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